Tabarre : Les Trois Mousquetaires de la Mairie Accusés de Rançonner les Victimes de Démolition
Tabarre, avril 2025 — Une vague d’indignation secoue la commune de Tabarre, où un groupe tristement surnommé les « trois mousquetaires » de la mairie est accusé de pratiques d’extorsion sur les victimes de démolition, particulièrement dans la zone du grillage de l’aéroport.
Ces trois individus — Diogène, le maire Alexandre Arsonval, et Wilner Étienne — sont pointés du doigt pour avoir mis en place un système de rançonnement bien rôdé. Les maisons démolies de façon brutale laissent derrière elles des familles désespérées qui espèrent au moins recevoir une compensation de l’État. Or, avant même de toucher leur chèque, ces familles se retrouvent face à un autre cauchemar : la corruption systématisée.
Un chantage orchestré depuis la mairie
Les victimes rapportent qu’une fois à la mairie, elles sont confrontées à une exigence claire : payer un pourcentage allant de 30 à 75% de leur indemnisation. À défaut d’acceptation, leur dossier est bloqué. Après un certain temps, un faux rapport est produit indiquant que le chèque a été retourné au service financier, une manœuvre visant à effacer toute trace de la transaction.
Diogène, le “négociateur” en chef
Le nommé Diogène est décrit comme le principal agent de “négociation” dans cette opération. Il retiendrait jusqu’à 75% de la valeur du chèque sous prétexte de traitement de dossier ou de frais administratifs. Dans certains cas, il aurait même menacé les victimes de ne jamais recevoir leur argent sans « partage ».
Les victimes montent au créneau
Face à cette injustice flagrante, les victimes se tournent vers les autorités compétentes :
Monsieur le Commissaire du Gouvernement,
Le Ministère de la Justice,
La DCPJ,
La BAF,
L’ULCC,
Le Ministère des Finances.
Elles lancent un appel à l’aide urgent, demandant que lumière soit faite sur ces pratiques abusives, que les auteurs soient identifiés, arrêtés et jugés, et que les victimes soient enfin indemnisées équitablement.
Des poches pleines sur le dos des sinistrés
Dans ce scandale, les noms de Diogène, Alexandre Arsonval et Wilner Étienne reviennent sans cesse. Ces « arnaqueurs institutionnels », comme les décrivent les victimes, sont accusés de faire « monter les gens dans le ciel sans retour », une métaphore pour décrire la disparition mystérieuse de l’argent et de l’espoir.
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